Si l’on me demandait…
Si l’on me demandait
Ce serait pour un an
Où bien toute une vie
Et non pas pour 3 ans
Car 3 vies, impossible
Je ne suis pas un chat
Si l’on m’interrogeais
Sur ce que je souhaiterai
Y faire et bien y vivre
Ce serait différent car
Bien plus intéressant
Comme m’échapper d’une cage
Être les pieds dans la neige
Le matin au réveil
Ou les pieds sur le lac
Pourtant bien loin de la croix
Que je porte pourtant
Mes guêtres s’en approchant
Ce serait différent
Dix vies au loin pourtant
Portants espoirs et craintes
Que le réveil désiré
Sous le soleil de minuit
Soit l’aurore de ma vie
Serais-ce une chimère
D’imaginer que l’herbe
Bien que blanche et couverte
Soit plus verte que celle
Qui si près mal à l’aise
Peine sous mon pâle soleil
Mais je ne réponds plus
Fatigué de rêver
Peter va s’en aller
Sous les coups de la nuit
Aux crochets de laquelle
La cloche va tinter
Joliment écrit.
Merci 🙂
mes pensées certains jours …ou je me laisse à rêver mais la réalité refait surface … ces rêves sont de plus flous comme s’ils s’effaçaient, l’espoir demeure mais s’amenuise …
Oui je comprends parfaitement, des jours de l’espoir, d’autres non. Mais comme le dit le proverbe, l’espoir fait vivre, et les rêves sont importants !