Ich bin ein Berliner
Séjour à Berlin
Je trouvais ça trop classe et en même temps too much d’appeler mon futur article sur mon prochain séjour à Berlin de ce titre si « Kennedien ». Cependant, c’est ce qui me vient directement en tête quand je pense à Berlin, j’ai donc décidé de l’utiliser quand même pour ce pré-article. On verra si en rentrant je me sent toujours comme un Berlinois.
Mais commençons par le début. Oui, je vais à Berlin en fin de semaine. Un gros weekend, petit city trip avant Noël, et ça fait du bien !
Je ne sais pas si vous vous rappelez, mais j’avais participé à un concours organisé par le Groupe Accord pour gagner un séjour à Lisbonne, Barcelone, ou Berlin. Je devais raconter ma ville préférée et donner envie aux gens d’y aller, avais bien entendu choisi Stockholm avec mes 5 bonnes raisons de découvrir la capitale suédoise.
Nous avions décidé de partir fin d’année, ce qui permettrait de laisser les enfants aux grands-parents (numéro 2 aura 4 mois), et profiter d’un grand weekend en amoureux, ce qui n’était pas arrivé depuis…
Le choix a été assez simple concernant le choix de la ville, car début décembre me paraissait pas top pour une destination Europe du Sud, et j’imaginais Berlin sous la neige avec des marchés de Noël et des lumières partout. Nous verrons. Pour l’instant, la neige ne semble pas encore décidée à envahir l’Europe, du moins la France et l’Allemagne. Triste je suis.
En tout cas, j’ai hâte de retourner en Allemagne, mon dernier passage dans ce pays devant dater du collège. Oui, j’avais pris allemand en première langue, et les professeurs ont réussi à totalement me dégoûter de cette langue. J’ai fait un blocage, et après 10 ans d’allemand à l’école, je n’ai aucun souvenir, c’est vraiment étrange. Je n’ai plus jamais non plus eu l’envie de reposer mes pieds dans ce pays, le fuyant et le contournant quand je le pouvais. Là c’était l’occasion d’aller découvrir cette capitale, et redécouvrir notre voisin.
Alors ce qui me gêne un peu dans ce périple à venir c’est le côté « mode » de Berlin, car depuis quelques mois tout bon voyageur qui se respecte doit aller visiter Berlin, qui est la ville la plus tendance hype de la mort qui tue du monde.
Mouai, nous verrons.
Berlin, une ville chargée d’histoire
Pour moi, c’est d’abord une ville qui a été ravagée, avec un gros mur écroulé, des bâtiments et rues carrées très communistes, et surtout une histoire très lourde. Le mémorial de la Shoah, par exemple, comment essayer de penser à cette histoire qui doit être omniprésente dans la ville ?
Loin des squats, du street art, et de la culture underground qu’on nous vend, et qui fait venir le monde à Berlin.
N’étant pas fan de boîte de nuits et de sorties dans des bars, aimant les coins jolis et agréables, nature, vous comprendrez que je me demande un peu de quoi sera fait ce séjour !
Nous verrons, Mdame Lapo a commencé à faire une liste de visites et musées, pour ma part je préfère me laisser guider par l’instinct, les ruelles, et les envies du moment, et nous verrons sur place ce qu’il se passera, le fil rouge sera sûrement les restaurants et salons de thés Berlinois, et les spécialités culinaires allemandes sur fond de bonnes bières, que je vais sûrement découvrir, étant plutôt amateur de bières Belges.
Je vous raconterais ce séjour à mon retour, même si vous pourrez sûrement voir quelques images via mes comptes Instagram et Twitter.
Salut! Ne t’inquiète pas, Berlin, ce n’est pas que la ville des clubs et des bars, comme évoqué dans ton article, les musées n’y manquent pas, au cas où la température serait insupportable (comme aujourd’hui où il fait actuellement -3 degrés… ah non, je ne suis pas encore habituée!). Il y a aussi de jolis parcs et des châteaux (Charlottenburg et Potsdam si vous avez le temps!) où ça vaut vraiment le détour… Concernant les salons de thé, les zones Mitte-Prenzlauer Berg (Factory Girl, Bonanza Café Heroes, etc.) sont pas mal! 🙂
Merci 🙂 bon, la température ne me fait pas peur, je veux du froid, donc c’est déjà ça! Après, je suis sur que je vais apprécier, juste ma peur de l’allemand qui ne demande qu’à disparaitre 🙂